👉Tu as l'impression de te tirer des balles dans le pied à chaque fois que tu t'approches de la réalisation de tes rêves?
👉Tu te sens maudite d'être toujours à deux doigts de ce que tu veux, sans pouvoir jamais l'atteindre ?
👉Et quand par miracle tu atteints ce que tu souhaites, tu te sens illégitime ou insatisfaite?
👉Tu tournes en boucle sur les mêmes schémas, les mêmes scénarios, les mêmes histoires sur toi-même?
👉Tu fais des allers-retours dans ta tête entre doutes et certitudes, bien/pas bien, bon chemin/pas bon chemin?
👉 Tu voudrais gagner de l'argent mais tu as peur de devenir un suppôt de satan à la solde des systèmes qui détruisent la planète?
👉Tu as peur de devenir avide de pouvoir, une personne horrible et tu projettes sur ceux qui réussissent à mettre en oeuvre ce que tu rêves de faire, les pires maux de la planète ?
OMG, bouge pas. Je crois savoir ce que tu as.
C'est le syndrôme de la “Bonne Personne”.
Le court-circuit inconscient d'une morale et d'un diktat intérieur qui t'empêche de “réussir”, de “briller” et d'être “visible”, parce que c'est pas bien de vouloir, et encore pire de vouloir plus, et encore plus pire, de vouloir trop.
Je sais ce que c'est. J'ai passé ma vie à m'auto-saboter sans m'en rendre compte. A chaque fois que j'ai réussi quelque chose, que j'ai atteint des paliers - notamment financiers comme créer un chiffre d'affaires à 6 chiffres, ou être à deux doigts de signer un gros contrat avec une maison de disques - j'ai pris une petite hache invisible et j'ai fait en sorte de couler mon navire.
Encore & Encore 🥳🥳🥳!
Ah le nombre de fois où je me suis lamentée en pleurant : “j'ai certainement un problème”, “qu'est-ce que les autres ont de plus que moi?”, “quelle mauvaise fée m'a jeté ce sort à ma naissance???”
Ça m'a pris des années de comprendre que c'était un système caché en moi, qui s'était mis en place pour me protéger de devenir mauvaise, parce que dans ma famille, à l'église et à l'école, on m'avait bassiné avec le fait que vouloir réussir, c'est l'oeuvre du diable, gagner de l'argent aussi, et que jouir….n'en parlons même pas !
Quand j'ai mis ça en lumière, ça a été la méga-libération !
40 années d'emprisonnement intérieur envolées en un instant, retour illico-presto de mon pouvoir personnel, une créativité retrouvée avec des résultats de ouf & surtout, une grande joie d'être simplement qui je suis, avec mes gros mots, ma vulgarité, ma spiritualité et mon envie de réussir.
Alors oui, là je t'ai parlé de conditionnements religieux.
Mais en vrai, depuis tous petits et partout, on nous façonne à être lisses, à ne pas avoir de mots plus hauts que l'autre et à être des enfants sages comme des images.
Que ce soit à l'école, dans les films, et les chansons, il y a toujours un gentil et un méchant, et je te le donne en mille, il faut être le gentil dans l'histoire.
Et encore plus quand on est une fille.
Sous prétexte qu'il faut être une “Bonne Personne”, il ne faut pas être “TROP comme si”, “ORIGINAL”, “INGRAT”, “JALOUX”, “SEXY”, “VULGAIRE” etc…
On alimente l'histoire qu'on ne peut pas se faire confiance et qu'on va forcément mal tourner.
Ben tout ça aujourd'hui, pour toi et moi, c'est fini !